Patrick Gauvert

Photographe.

 
En 2011, après 40 années de travail dans de grands groupes industriels français et presqu’autant de temps passé à découvrir le monde, l’heure de la retraite a sonné.
Pour horizon, des dizaines de milliers de négatifs à numériser, nettoyer et valoriser pour les présenter à un public qu’il souhaite conquérir. C’est pourquoi les premières expositions réalisées s’intitulent « Marchés d’ailleurs », « Enfants Nature » et « Rendez-vous en terre féminine »
Ce n’est qu’à partir de 2013, avec son passage au numérique, qu’il bascule dans un monde de recherche et de créativité autour de l’art et de sa représentation photographique. Ainsi sont créées ses travaux sur « Lumières obscures », « Un mur bien éphémère », « La quintessence du masque ».
En 2016, il transforme les photographies de la Chine bucolique et campagnarde en véritables tableaux impressionnistes avec « Chine : Impressions, Céleste Empire » puis ouvre les portes de « La Route de la Soie ».
Aujourd’hui son regard se porte sur l’art automatique et électronique. Il photographie des œuvres produites par ordinateur, les colorise et les adapte à sa manière. C’est un des thèmes de son exposition dans le cadre de son action au sein de l’association Colori Tempi.
Se consacrant d’abord à des expositions pédagogiques dans des centres culturels de la Région parisienne et du Sud de la France, il présente également ses œuvres depuis 3 à 4 ans sur les salons photographiques et dans des galeries. En 2018, il s’est lancé à la conquête de l’international, en présentant ses masques vénitiens dans certains salons asiatiques de Tokyo, Pékin et Séoul. Il produit également des livres et des projections diaporamas sur ses thèmes de prédilection.
Mais tout cela ne l’empêche pas pour autant de rester fidèle à l’ouest parisien où il réside depuis près de 50 ans.