Samedi 17 juin : Claude-Alain Planchon dédicace son nouveau roman

Dimanche 11 juin, pour les 10 ans de notre association Colori tempi, notre ami Claude-Alain Planchon, dédicaçait ses nombreux livres.
Si vous n’avez pas pu venir, vous pouvez encore aller à sa rencontre aujourd’hui, le samedi 17 juin, de 15h à 18h au Café « Le Procope »,  car il dédicacera son nouvel ouvrage « LAST DANCE à AMSTERDAM ».


Ils l’ont écrit :

– « LAST DANCE à AMSTERDAM est le livre que devraient lire tous les couples en déshérence… »

– « Claude A. Planchon déclare volontiers qu’en littérature, il y a deux choses très difficiles pour un écrivain: manier l’humour sans pour autant être vulgaire et décrire des scènes de sexe sans pour autant tomber dans la pornographie. Pari réussi avec son nouveau roman LAST DANCE à AMSTERDAM! »

– « De Panique à Deer Creek à LAST DANCE à AMSTERDAM, l’auteur, Claude-Alain Planchon, passe brillamment du héros manipulateur au héros manipulé… »

– « LAST DANCE à AMSTERDAM est un roman tellement noir, que l’auteur, Claude-Alain Planchon, puise l’encre ans une noirceur intérieure terrifiante… »

– « Il y a une véritable esthétique de l’amour, sans laquelle l’amour ne serait qu’hygiénique. Pour moi, cela n’aurait pas de sens! »

– « A ne pas mettre entre toutes les mains, mais accessible à toutes les bourses! »

– « LAST DANCE à AMSTERDAM est, je crois, le plus réussi de tous. Claude-Alain PLANCHON a trouvé une écriture un peu différente, plus aboutie, plus dense et plus originale, ainsi qu’un style désormais bien particulier où alternent des passages extrêmement classiques et travaillés, que l’on retrouve toujours chez lui, et des séquences bien plus vives et spontanées qui pourraient être écrites par un auteur très moderne. C’est divers, composite, et multiple. Moi, j’aime infiniment ce goût du détail et cette précision chirurgicale qui sont les siens, quand il décrit un objet, un lieu, un personnage, une impression ou un sentiment. C. A. PLANCHON a acquis une vraie densité. L’ensemble du livre est très prenant. On s’attache très vite aux personnages et on est pris par l’histoire. La description des sentiments, des émotions et du plaisir, est très étonnante et très forte. C. A. PLANCHON nous fait vivre intimement ce que ressent David et, avec lui, on s’envole haut et on redescend très bas. Il ose plus dans ce livre, mais toujours avec élégance. Tout passe bien, alors que beaucoup de choses pourraient choquer…. A chaque fois, il nous plonge dans un monde bien particulier dans lequel il évolue à l’aise, un peu comme s’il avait toujours été le sien. Et à chaque fois, on voit qu’il a accompli un travail considérable de recherche et de documentation, mais qu’il nous livre avec légèreté, sans imposer ostensiblement un savoir récent. Personnellement, je me suis plongé avec bonheur dans ce monde des pierres que j’aime tant et j’ai été épaté par l’expertise. Ce qui est merveilleux, quand on connaît l’auteur, c’est qu’on le retrouve à chaque page, et surtout entre chaque ligne. Et en même temps, il nous perd souvent. Quand on croyait le saisir, il se dérobe… Je ne peux pas m’empêcher de comparer cette impression au jeu que l’on fait avec les tous petits enfants en cachant son visage derrière un coussin, puis en se découvrant. « Coucou ! », je suis là et hop, je disparais. Pour vraiment apprécier « LAST DANCE à AMSTERDAM », il faut bien connaitre C. A. PLANCHON et même si l’on ne le connaît pas, on est néanmoins harponnés par l’histoire… »

– « Lorsque je serai en âge de m’entendre poser cette question : Que veux-tu faire quand tu seras grand ? Je répondrai : Je veux être un Planchon. Parce qu’il me semble que ce serait moi, mais en mieux, un moi enfin incarné, un moi en réalité augmenté. Ce livre, où je me rencontre à chaque page (ou presque), me fait exister. Il y a une liberté, une audace, qui ne sont ni provocation vaine, ni complaisance nombriliste, mais humour (à la machette) et profondeur (abyssale). C’est universel, donc universellement moi, lui, ils, nous… Keep on writing ! »